pourquoi pourquoi indifférence, porte refermée sur l’espace de la fin, pourquoi, plus de substance à mordre, plus de voix auxquelles se raccrocher, pourquoi — et comment te laisser pleurer dans la chambre, la misère au coin du lit en désordre — tu dois avoir si peur, tu as mal, tu as froid ou faim — la vie te quitte — personne pour forcer la serrure te porter de la soupe chaude des mots avec du doux — pourquoi pourquoi, insupportable et si violente la solitude (je voudrais je voudrais)
A chaque être une réponse au fameux pourquoi.
On ne devrait pas partir aussi abandonné-e..
Ton texte me glace le sang comme un baiser sur le front d’un défunt..
Ouh là, ça rigole pas! Est-ce ton prochain départ qui t’entraine vers un noir que Soulages aurait apprécié?
c’est suite à une note de journal, ces quelques lignes qui m’ont sauté à la gorge en cette période de Noël où on voudrait que tout ne soit que faste et volupté…
mon côté compassion irrépressible, tu sais bien…