falaise sans fin (12)
L’attirance entre Mowglia et Mermel pourrait m’entraîner si loin que j’en ai le vertige. Patienter pour l’écrire. Plus tard peut-être dans une autre saison ou pourquoi pas dans un livre. Aujourd’hui accorder de l’attention à leurs deux corps marchant hésitant s’observant, agissant l’un vers l’autre comme au ralenti – j’aime approcher cette tension des nerfs …