quel regard porter sur l’événement en train d’arriver ? sur la menace ? sur les ténèbres qui envahissent soudain notre ciel ? quoi entreprendre ? vers où se tourner ?
Au lendemain de l’invasion de l’Ukraine, François Bon lance une proposition d’atelier sur une phrase de Pluies, de Saint-John Perse, écrite en 1943 à partir de la répétition d’un impératif : «Lavez, lavez ô pluies…».
51 d’entre nous ont très vite fait écho, évoquant leur propre confrontation aux ombres du monde…
photographie Nathalie Holt