15 et 16 juin 2019, deux jours marqués depuis longtemps dans nos agendas… miracle de la rencontre à travers l’écrire et le lire. Tout un programme autour des personnages. Mais pourquoi tout ça ? pourquoi écrire ? pourquoi dire avec la voix ? ensemble, les uns à côté des autres, fouillant la mémoire et profitant de la paix du lieu… il n’y aura pas de réponse ou alors des multiples…
et maintenant le désir de dire un peu tout ce que je porte en moi depuis ces heures ensemble… parce que ça nous entraîne loin des moments comme ça, ça révèle des espaces qu’on n’a pas forcément soupçonnés jusque-là, des champs, des matières – souvenirs, impressions, colères et forces à détruire ou à vivre –, ça impulse dans la bataille autant d’éléments improbables égarés dans la chair et le temps qui ne se seraient jamais assemblés sans la circonstance offerte, et ça éveille des tas d’envies de défaire et de refaire, de construire, de continuer le chemin
amitié, affection, sourires et peines enfouies ou présentes, alternance entre vent du samedi et chaleur du dimanche, entre le froid et le chaud. Repas partagés sous le cerisier rescapé des inondations. Chatte grise. Jardins complices…
Françoise Renaud
Le lâcher prise est difficile à atteindre… L’angoisse de la page blanche me frôle… Et puis » l’Homme du Bus » me sauve une deuxième fois d’un égarement programmé. Il restera inscrit dans ma mémoire comme le sont chaque visage, chaque instant de cette aventure vécue au rythme des mots, des voix qui résonnent encore au Jardin de mon cœur.
Dans la douceur d’un mois de Juin, le souffle éphémère de l’Écriture me frôle avant de reprendre ses droits dans la beauté d’une relecture où une « Femme dans l’Herbe » me donne l’envie folle de repartir dans les pas de Françoise… sur les chemins de l’Imaginaire.
Jacqueline.
P.S. – Mon inconnu du banc était à nouveau à l’arrêt du bus à Ganges le lundi matin pour le retour sur Nîmes.. D’où venez vous ?… un beau sujet à développer pour une nouvelle à lire à notre prochaine rencontre…
Le texte de Guilaine est bien joli … et je le fais mien, si elle m’y autorise. Peu de choses à ajouter sinon espérer, désirer que ça recommence et ce dans le laps de temps le plus court possible. Je n’ai pas vu d’étoile filante mais je fais quand même ce vœu.
Merci à notre hôtesse … et aux hôtes.
Je relaie le commentaire que Guilaine nous a adressé… il semble ne pas être passé sur le site, et pourtant validé… les mystères de l’informatique.
« Je viens de lire ton article sur notre belle aventure; je souhaitais faire un commentaire sur le vif, mais je n’y arrive pas, car l’informatique et moi, c’est chien et chat..
Alors voilà ce que cette lecture m’inspire:
Finalement tout ce que tu décris si bien c’est le panier de cerises!
Le soir au resto, on nous a présenté un magnifique panier en osier avec des cerises. Mon esprit cartésien s’est demandé comment avec des mailles aussi larges, ce panier-dentelles arrivait à garder toutes ces cerises, sans en perdre une malgré la ronde de mains en mains…
J’accepte de ne pas avoir la solution, mais je fais un parallèle avec le panier. Les 15 et 16 juin, nous avons eu en cadeau un voyage dans un panier d’émotions avec des cerises, c’était vaste et généreux et je pense que c’est l’alchimie de la Rencontre qui a soudé tout ça!
Et oh magie, chacun repart heureux avec son petit panier personnalisé…
Je te laisse, un fer vapeur s’impatiente…
Amicalement,
Guilaine »
un WE d’une richesse insoupçonée, l’amitié et les mots mis en voix sous la baguette de Françoise qui nous a dirigé vers le plus haut de nous même. Tous attentifs aux consignes et directives, nous avons maintenant les outils pour nous améliorer, faire mieux, toujours mieux. Et si nous n’y arrivons pas encore , nous sommes tous d’accord pour recommencer. Merci Françoise
Je viens de lire ton article sur notre belle aventure; je souhaitais faire un commentaire sur le vif, mais je n’y arrive pas, car l’informatique et moi, c’est chien et chat..
Alors voilà ce que cette lecture m’inspire:
Finalement tout ce que tu décris si bien c’est le panier de cerises!
Le soir au resto, on nous a présenté un magnifique panier en osier avec des cerises. Mon esprit cartésien s’est demandé comment avec des mailles aussi larges, ce panier-dentelles arrivait à garder toutes ces cerises, sans en perdre une malgré la ronde de mains en mains…
J’accepte de ne pas avoir la solution, mais je fais un parallèle avec le panier. Les 15 et 16 juin, nous avons eu en cadeau un voyage dans un panier d’émotions avec des cerises, c’était vaste et généreux et je pense que c’est l’alchimie de la Rencontre qui a soudé tout ça!
Et oh magie, chacun repart heureux avec son petit panier personnalisé…
Je te laisse, un fer vapeur s’impatiente…
Amicalement,
Guilaine
Merci pour cette métaphore généreuse tout comme la chair des cerises…