Deux de mes textes vont être publiés en revue ces jours-ci…
Aujourd’hui je parlerai du premier… sachez que ça ne me rapporte rien du tout (cette fois il faut même que je m’offre mon exemplaire…) mais ça maintient vivant en écriture… tellement tellement important…
Vibration dans la ville
bouclé in extremis, pour la revue Étoiles d’encre, publiée par les éditions Chèvre-feuille étoilée auxquelles je suis très fidèle
une belle équipe de femmes qui aiment les mots et la littérature
cette fois, sur le thème de LA CITÉ
en plus c’est une photographie de mon ami Philippe Castelneau qui accompagne le texte… merci à lui…
En marchant dans la ville on ne pense qu’aux vivants. On ne pense qu’aux autres qui marchent comme soi, qui se déplacent à pied en vélo, arpentent les trottoirs et traversent les places. On est sensible au trafic, aux impulsions et aux circulations, aux bruits mêlés qui constituent la rumeur de la ville (rumeur qu’on pourrait reconnaître les yeux fermés). On oublie la couche de poussière et les marques de dégradation qui affectent les bâtiments. On ne voit que la ville des vivants. […]