Décidément trop étroit son corps, pour demeurer en première ligne et affronter les coups de chien. Le dernier en date lui a pris un membre — il gît encore dans l’herbe à son pied.
Et puis toutes ces balafres.
Mais il tient bon en dépit des hivers, des furies de la mer.
Et c’est vers la brande qu’il penche, du côté des hommes. Il sait ce qu’ils ont subi. L’arbre est repère en ce pays d’usure.
Fragment de travail en cours (parution prévue au printemps 2013)
Texte et photographie : Françoise Renaud©, 2011
denise miège 8 juillet 2012
oh! si les hommes savaient comprendre l’arbre, le respecter et l’aimer …. on n’en serait pas là (bis)
Lydia CONTI 7 août 2012
Très jolie photo, Françoise. Elle me fait penser à mon amie Olga, ma vieille amie qui aime tant les arbres.
Le texte est magnifique, moi, je n’avais pas remarqué que c’est du côté des hommes que cet arbre penche. Sans doute a-t-il ses raisons.
françoise renaud 8 août 2012 — Auteur d'un article
Ces images annoncent le « beau livre » que je concocte depuis plusieurs années (textes et photos) sur mon pays de naissance en sud Bretagne.
Elles ont pour but de donner le goût de ce territoire qui m’a forgée…
J’espère que ce livre vous donnera envie de le visiter…(parution prévue au printemps 2013)
Nyiri Pascal 25 août 2012
Oui Françoise, l’arbre dit.
Son unicité est absence.
P.
roger marie jeanne 10 octobre 2012
vivement la parution du livre de chez nous je t’embrasse depuis notre belle corniche
Lydia 23 avril 2014
Bientôt le mois de mai et, sans doute bientôt la parution tant attendue.
Nous devons être nombreux à être impatients.
Découvrir le reste de cette mise en bouche qui nous laisse sur notre faim